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Le projet Monarch

Contrôle Mental Nazi

Au cœur de la subtile manipulation cérébrale des masses crédules, orchestrée à travers une pléthore de moyens habilement biaisés, se trouve l’une des plus diaboliques atrocités infligées à une partie de l’humanité : une forme de contrôle mental systématique qui s’est infiltrée dans chaque aspect de la société depuis près d’un demi-siècle.

Pour appréhender pleinement ce qui suit, il est nécessaire de réexaminer les idéologies préconçues sur la dualité intrinsèque de la nature humaine. Résoudre la question philosophique de savoir si nous sommes fondamentalement bons ou mauvais est primordial pour façonner notre perception de la réalité, notamment en ce qui concerne la variable spirituelle dans l’équation de la vie.

Cette analyse s’appuie sur des documents déclassifiés du gouvernement américain, des témoignages d’anciens membres des communautés de renseignement américaines, des écrits historiques, des travaux de chercheurs spécialisés dans le contrôle mental, des publications de praticiens en santé mentale, ainsi que sur des entretiens avec des survivants exposés, à leur insu, à une forme complexe de contrôle mental basée sur des traumatismes, connue sous le nom de programmation MONARCH.

Une mise en garde

Pour les survivants de contrôle mental systématique intensif et/ou de formes d’abus rituels, cet article contient de nombreux éléments déclencheurs. Il est donc fortement conseillé de ne le lire qu’en présence d’un soutien approprié ou si votre personnalité est complètement réintégrée.

Une Brève Histoire du Contrôle

Les religions mystiques de l’Égypte ancienne, de la Grèce, de l’Inde et de Babylone ont jeté les bases de l’occultisme, défini comme la « connaissance cachée ». Une des premières références écrites à cet occultisme figure dans le Livre des Morts égyptien, un recueil de rituels décrivant explicitement des méthodes de torture et d’intimidation (pour engendrer des traumatismes), l’utilisation de potions (drogues) et le lancement de sorts (hypnose), visant à réduire l’initié en totale servitude. Ces éléments sont devenus les principaux piliers d’une branche de l’occultisme connue sous le nom de satanisme à travers les âges.

Au XIIIᵉ siècle, l’Église catholique romaine a accru son emprise sur l’Europe grâce à l’Inquisition. Bien que persécuté, le satanisme a survécu en se réfugiant au sein de divers groupes ésotériques. En 1776, un jésuite bavarois nommé Adam Weishaupt, sous la commande de la maison Rothschild, a entrepris de centraliser le pouvoir des religions mystiques dans ce que l’on connaît sous le nom des Illuminati, ou les « Illuminés ». Cette organisation rassemblait des lignées occultes puissantes, des sociétés secrètes élitistes et des fraternités maçonniques influentes, avec l’ambition de créer un cadre pour un « Nouvel Ordre Mondial ». Si l’objectif apparent de cette utopie était le bonheur universel de l’humanité, l’intention sous-jacente était d’accroître progressivement le contrôle des masses pour devenir les maîtres de la planète.

L’Alliance Anglo-Saxonne

Au XIXᵉ siècle, la Grande-Bretagne et l’Allemagne étaient reconnues comme les centres géographiques principaux du contrôle Illuminati. Sans surprise, les premières recherches en sciences comportementales ont été établies en Angleterre en 1882, tandis qu’en Allemagne, l’Institut Kaiser Wilhelm a été pionnier dans les techniques médicales et psychiatriques liées au contrôle mental. En 1921, l’Institut Tavistock des Relations Humaines fut fondé à Londres pour étudier le « point de rupture » des individus. Kurt Lewin, un psychologue allemand, devint son directeur en 1932, à une époque où l’Allemagne nazie intensifiait ses recherches en neuropsychologie, parapsychologie et occultisme multi-générationnel.

Un échange progressif d’idées scientifiques eut lieu entre l’Angleterre et l’Allemagne, notamment dans le domaine de l’eugénisme, un mouvement visant à « améliorer » l’espèce humaine en contrôlant les facteurs héréditaires. Cette alliance énigmatique était renforcée par l’Ordre de l’Aube Dorée, une société secrète comptant parmi ses membres de nombreux hauts fonctionnaires nazis et aristocrates britanniques. Heinrich Himmler, un des plus hauts officiers SS nazis, supervisait un projet scientifique appelé Lebensborn, axé sur l’élevage sélectif et l’adoption d’enfants, dont un grand nombre de jumeaux. Ce programme visait à créer une « super-race » aryenne totalement loyale au Troisième Reich et à son Nouvel Ordre Mondial.

L’Évolution du Projet MKULTRA

Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont secrètement importé de nombreux scientifiques et espions nazis via l’Amérique du Sud et le Vatican dans le cadre de l’opération PAPERCLIP. Parmi eux figurait Reinhard Gehlen, chef des renseignements d’Hitler contre la Russie, qui a contribué à la création de la CIA et du Conseil de Sécurité Nationale. Ces institutions furent le terreau de projets clandestins tels que MKULTRA, visant à développer des techniques sophistiquées de modification comportementale, en s’appuyant sur l’hypnose, les drogues et les traumatismes psychologiques.

Ainsi, l’Histoire révèle une sinistre confluence entre science, occultisme et manipulation, façonnant des outils de contrôle des masses dont les répercussions se font encore sentir aujourd’hui.

Étymologie hypothétique et description du projet MK

Il est possible que l’acronyme “MK” trouve son origine dans l’expression “Mind Kontrolle.” En allemand, le terme Kontrolle se traduit directement en anglais par “control” (contrôle). [7] Après la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre de médecins allemands issus du vivier nazi ont été recrutés, devenant des atouts inestimables pour le développement du projet MKULTRA. La corrélation entre les expériences menées dans les camps de concentration et les divers sous-projets de MKULTRA est évidente.

Les voies explorées pour exercer un contrôle sur le comportement humain au sein de MKULTRA incluaient l’utilisation de la radiation, des électrochocs, de la psychologie, de la psychiatrie, de la sociologie, de l’anthropologie, de la graphologie, ainsi que des substances et dispositifs paramilitaires de harcèlement, le LSD étant le “matériau” le plus largement employé. Une procédure particulière, désignée sous le nom de MKDELTA, fut instaurée pour encadrer l’utilisation des matériaux MKULTRA à l’étranger. Ces matériaux étaient utilisés à des fins de harcèlement, de discréditation ou de neutralisation. [8]

Sur les 149 sous-projets recensés sous l’égide de MKULTRA, le Project MONARCH, officiellement lancé par l’armée américaine au début des années 1960 (bien que mis en œuvre officieusement bien plus tôt), semble être le plus emblématique et reste classé “Top Secret” pour des raisons de sécurité nationale. [9]

MONARCH pourrait avoir émergé des sous-projets MKSEARCH, tels que l’opération SPELLBINDER, destinée à créer des “assassins dormants” (ou “candidats mandchous”) activés par un mot-clé ou une phrase déclencheuse en état de transe post-hypnotique. L’opération OFTEN, qui visait à exploiter le pouvoir des forces occultes, pourrait avoir servi de couverture à la réalité insidieuse du Project MONARCH.

Nom et symbolisme

Le nom MONARCH ne renvoie pas nécessairement à la royauté, mais plutôt au papillon monarque. Lorsqu’un individu subit un traumatisme provoqué par des électrochocs, il ressent une sensation de légèreté, comme s’il flottait ou battait des ailes, à l’image d’un papillon. Le papillon symbolise également la transformation ou métamorphose : de la chenille au cocon (état de dormance et d’inactivité), puis au papillon, une “nouvelle création” retournant à son origine, suivant un schéma migratoire unique.

Dans le symbolisme occulte, le mot grec Psyche, désignant à la fois l’âme et le papillon, s’appuie sur la croyance selon laquelle les âmes humaines deviennent des papillons en quête d’une nouvelle incarnation. [10] Certaines sectes mystiques, comme les gnostiques, voyaient dans le papillon un symbole de chair corrompue. Dans l’art gnostique, l’Ange de la Mort (souvenez-vous de Mengele) est souvent représenté écrasant un papillon. [11]

Le “Syndrome de la Marionnette” et la dissociation structurée

Un pantin, ou marionnette, est un être contrôlé par des ficelles, manipulé par un maître-pantin. Ainsi, la programmation MONARCH est également appelée “Syndrome de la Marionnette” ou “Conditionnement Impérial.” Certains psychothérapeutes la définissent comme une “séquence de stimuli et de réponses conditionnées.” Le Project MONARCH peut être décrit comme une forme de dissociation structurée combinée à une intégration occulte, visant à compartimenter l’esprit en personnalités multiples dans un cadre méthodique.

Ce processus inclut souvent un rituel satanique, généralement ancré dans le mysticisme kabbalistique, pour attacher un ou plusieurs démons à des personnalités alternées (ou alters). Les sceptiques interprètent cela comme une méthode d’intensification du traumatisme chez la victime, écartant toute croyance irrationnelle en une véritable possession démoniaque.

Altérations et Déclencheurs

Une autre façon d’examiner cette victimisation complexe du corps et de l’âme est de la considérer comme un programme informatique sophistiqué. Un fichier (alter) est créé par le biais de traumatismes, de répétitions et de renforcements. Pour activer (ou déclencher) ce fichier, un code d’accès ou mot de passe spécifique (signal ou commande) est nécessaire. La victime/survivante est qualifiée d’« esclave » par le programmateur/contrôleur, qui est perçu comme un « maître » ou un « dieu ». Environ 75 % des victimes sont des femmes, en raison de leur tolérance plus élevée à la douleur et de leur propension à dissocier plus facilement que les hommes. Ces sujets sont principalement utilisés pour des opérations secrètes, la prostitution et la pornographie, avec une implication notable dans l’industrie du divertissement.

Un ancien officier militaire lié à l’Agence de renseignement de la défense (DIA) a confié à l’auteur : « À une échelle globale, ces individus [victimes du programme MONARCH] se retrouvent dans tous les milieux, du clochard dans la rue au cadre en col blanc. » En corroboration, un ancien agent de la CIA a vaguement évoqué l’utilisation de ces individus comme « infiltrés » ou « caméléons » chargés de s’intégrer dans des groupes désignés, de recueillir des informations et/ou de promouvoir un agenda sous-jacent.

Les victimes/survivants possèdent un nombre disproportionné d’altérations, assorties de programmes de sauvegarde, de miroirs et d’ombres. Une division entre des altérations « lumineuses » (bonnes) et « obscures » (mauvaises) est entrelacée dans leur esprit, pivotant autour d’un axe central.

L’une des principales structures internes (parmi de nombreuses autres) au sein du système est en forme de double hélice, composée de sept niveaux. Chaque système dispose d’un programmateur interne supervisant un « gardien » (démons ?) qui contrôle l’accès aux différentes salles. Parmi les images internes fréquemment observées par les victimes figurent des arbres, l’« Arbre de Vie » cabalistique et ses systèmes racinaires adjacents, des boucles d’infini, des symboles anciens, des lettres, des toiles d’araignée, des miroirs brisés, des masques, des châteaux, des labyrinthes, des démons, des monstres, des aliens, des coquillages, des papillons, des serpents, des rubans, des fleurs, des sabliers, des horloges, des robots et des schémas électroniques.

Lignées de sang et gémellité

La majorité des victimes/survivants proviennent de familles sataniques multi-générationnelles (lignées de sang) et sont ostensiblement programmés « pour accomplir leur destin en tant qu’élus ou générations choisies » (un terme attribué à Mengele à Auschwitz). Certains sont adoptés par des familles d’origine similaire. D’autres, utilisés dans cet atroce cauchemar neurologique, sont désignés comme « les jetables » (non issus des lignées de sang), généralement issus d’orphelinats, de foyers d’accueil ou de familles incestueuses ayant une longue histoire de pédophilie. On observe également un motif récurrent de membres de ces familles affiliés à des agences gouvernementales ou de renseignement militaire.

De nombreuses victimes viennent de familles utilisant le catholicisme, le mormonisme ou le christianisme charismatique comme couverture pour leurs activités abominables (bien que des membres d’autres groupes religieux soient aussi impliqués).

Les victimes/survivants répondent généralement plus facilement à une structure religieuse rigide (dogmatique, légaliste) car elle reflète leur programmation de base. L’autorité y est rarement remise en question, leur volonté ayant été usurpée par un conditionnement subjectif et axé sur l’obéissance.

Les caractéristiques physiques des victimes/survivants incluent souvent de multiples cicatrices causées par des décharges électriques et/ou des grains de beauté résultants sur leur peau. Quelques-uns peuvent avoir des parties de leur corps mutilées à l’aide de couteaux, de fers à marquer ou d’aiguilles. Les tatouages de papillons ou à motifs occultes sont également fréquents. En général, les membres des lignées de sang sont moins susceptibles de porter de telles marques, leur peau devant « rester pure et intacte ».

Le but ultime de cette manipulation sophistiquée peut sembler irréaliste, selon notre compréhension des domaines physique et spirituel. On prétend que les alters les plus profonds et sombres des membres des lignées de sang demeurent en sommeil jusqu’à la révélation de l’« Antéchrist ». Ces alters liés à un « Nouvel Ordre Mondial » contiendraient prétendument des ordres de rappel et des instructions pour former et/ou initier un grand nombre de personnes (peut-être des clones ou des « êtres sans âme »), stimulant ainsi des programmes de contrôle social dans le nouveau millénaire.

La « gémellité non biologique » est une autre caractéristique étrange observée dans la programmation MONARCH. Par exemple, deux jeunes enfants non apparentés seraient rituellement unis lors d’une cérémonie magique de « lien d’âme » afin d’être « inséparablement liés pour l’éternité » (peut-être une autre référence à Mengele ?). Ils partagent essentiellement deux moitiés des informations programmées, devenant ainsi interdépendants l’un de l’autre. Des phénomènes paranormaux tels que la projection astrale, la télépathie, ou la perception extrasensorielle (PES) semblent être plus prononcés chez ceux qui ont subi ce processus.

Les niveaux de programmation MONARCH

 • ALPHA : Considéré comme la programmation de base ou « générale », il est associé à une mémoire extrêmement développée, une force physique nettement accrue et une acuité visuelle améliorée. La programmation ALPHA est réalisée par une subdivision délibérée de la personnalité de la victime, causant une division cerveau gauche-droit et permettant une union programmée des deux hémisphères par stimulation des voies neuronales.

 • BETA : Référencé comme la programmation « sexuelle », ce niveau élimine toutes les convictions morales apprises et stimule les instincts sexuels primitifs, sans inhibitions. Des alters dits « félins » peuvent émerger à ce niveau.

 • DELTA : Connue comme la programmation « assassin », elle a été développée à l’origine pour l’entraînement d’agents spéciaux ou de soldats d’élite (par ex. Delta Force, Mossad, etc.) pour des opérations clandestines. Elle optimise la production d’adrénaline et le contrôle de l’agressivité. Les sujets, dénués de peur, exécutent leur mission de manière méthodique. Des instructions d’autodestruction ou de suicide sont souvent superposées à ce niveau.

 • THETA : Qualifiée de programmation « psychique », elle concerne les membres des lignées de sang, réputés avoir des capacités télépathiques supérieures. En raison de ses limitations, des systèmes de contrôle mental électroniques ont été développés, notamment des dispositifs biomédicaux de télémétrie humaine (implants cérébraux), des lasers à énergie dirigée utilisant des micro-ondes ou des électromagnétiques, associés à des ordinateurs sophistiqués et des systèmes de suivi par satellite.

 • OMEGA : Une forme de programmation « autodestruction », également appelée « Code Vert ». Les comportements correspondants incluent des tendances suicidaires et/ou automutilatrices. Ce programme est généralement activé lorsque la victime/survivant entame une thérapie ou un interrogatoire et commence à récupérer trop de souvenirs.

 • GAMMA : Une autre forme de protection du système par la programmation « trompeuse », qui induit la désinformation et la déviation. Ce niveau est lié à la démonologie et tend à se réactiver plus tard s’il est désactivé de manière inappropriée.

Méthodes et Composants

Le processus initial débute par la création d’une dissociation chez le sujet, généralement dès la naissance jusqu’à environ six ans. Cela est principalement réalisé par l’utilisation de l’électrochoc (ECT), parfois administré alors que l’enfant est encore dans le ventre de sa mère. En raison des traumatismes sévères causés par l’ECT, les abus sexuels et d’autres méthodes, l’esprit se fragmente en personnalités alternées à partir du noyau central. Ce phénomène, autrefois désigné comme Trouble de la personnalité multiple, est aujourd’hui connu sous le nom de Trouble dissociatif de l’identité et constitue la base de la programmation MONARCH. Le conditionnement de l’esprit de la victime est renforcé par l’hypnose, la coercition paradoxale, l’inversion plaisir-douleur, la privation de nourriture, d’eau, de sommeil et de stimulation sensorielle, ainsi que par divers médicaments modifiant certaines fonctions cérébrales.

La phase suivante consiste à intégrer et compresser des ordres ou messages détaillés dans l’alter spécifié. Cela est réalisé grâce à des casques haute technologie, combinés à des générateurs pilotés par ordinateur émettant des ondes sonores inaudibles ou harmoniques, affectant le revêtement ARN des voies neuronales menant au subconscient et à l’inconscient. Des dispositifs optiques de réalité virtuelle sont parfois utilisés en parallèle avec les générateurs harmoniques, projetant des lumières colorées pulsantes, des messages subliminaux et des images en écran partagé. L’électrochoc à haute tension est ensuite employé pour effacer les mémoires.

La programmation est régulièrement mise à jour et renforcée par des supports visuels, auditifs et écrits. Parmi les premiers thèmes de programmation figurent Le Magicien d’Oz et Alice au pays des merveilles, imprégnés de symbolisme occulte. Beaucoup de films récents de Disney sont utilisés de manière double : désensibiliser la majorité de la population par des messages subliminaux et une programmation neurolinguistique, et construire intentionnellement des déclencheurs spécifiques pour la programmation de base des enfants MONARCH très influençables.

Un exemple frappant de programmation subliminale est le film Disney Pocahontas, curieusement présenté comme le 33ᵉ long métrage d’animation (le plus haut degré dans la franc-maçonnerie écossaise). Dans ce film, Grand-Mère Feuillage, un arbre mystique vieux de 400 ans, conseille Pocahontas, orpheline de mère, de « suivre son cœur », lui faisant croire que toutes les réponses se trouvent en elle. Grand-Mère Feuillage parle constamment par « doubles langages » et inversions (par exemple, « Parfois, le bon chemin n’est pas le plus facile » ; dérivation ésotérique : le chemin gauche [qui mène à la destruction] est le plus facile). Dans les systèmes structurés Illuminati de TDI, le saule représente les pouvoirs occultes du druidisme. L’imagerie intrinsèque des branches, des feuilles et des racines de l’arbre est significative, car certaines propriétés spirituelles sombres associées à la programmation du Saule incluent :

 1. Les branches sont utilisées pour fouetter les victimes lors de rituels de « purification ».

 2. Un saule peut résister à de fortes perturbations climatiques (tempêtes) et est réputé pour sa souplesse et sa flexibilité. Les victimes/survivants décrivent les branches du saule les enserrant, sans espoir d’échapper.

 3. Le profond système racinaire du saule donne à la victime/survivant l’impression de sombrer de plus en plus dans un abîme lors d’une transe hypnotique.

Rôle de la musique et des médias dans la programmation

La musique joue un rôle clé dans la programmation à travers des combinaisons de tonalités variables, de rythmes et de mots. Des auteurs comme Stephen King et leurs adaptations cinématographiques sont accusés de participer à cette programmation. Un de ses romans récents, Insomnia, montre une photo de King avec la phrase-clé « NOUS NE DORMONS JAMAIS » sous un œil omniscient.

Une liste partielle des médias utilisés pour renforcer la programmation de base comprend :

Pinocchio, La Belle au bois dormant, Blanche-Neige, La Belle et la Bête, Aladdin, La Petite Sirène, Le Roi Lion, E.T., Star Wars, S.O.S. Fantômes, Tiny Toons, et d’autres œuvres populaires.

Programmateurs et lieux associés

L’identité du premier programmateur de ce projet satanique est obscure en raison de la désinformation répandue par les « puissants ». Parmi eux, on trouve :

 • Dr. Green (Dr. Gruenbaum ou Josef Mengele). Ce dernier, connu pour sa cruauté calculatrice, a marqué de nombreuses victimes à Auschwitz et ailleurs. Mengele, surnommé Vaterchen ou Schöner Josef, dissimulait son sadisme derrière un comportement apparemment doux.

 • Dr. D. Ewen Cameron, psychiatre influent, a expérimenté au Canada des techniques brutales comme la « conduite psychique », impliquant des comas induits par des drogues et des messages répétitifs.

Les lieux de programmation incluent des bases militaires (China Lake, Presidio, Offutt AFB), des universités (Cornell, UCLA) et des instituts de recherche (Tavistock). Ces centres combinent des méthodes sophistiquées pour conditionner les victimes et les préparer à des rôles spécifiques au sein de la programmation MONARCH.

Noms Notables

L’un des premiers cas documentés d’un agent secret issu du programme MONARCH est celui de Candy Jones, un mannequin voluptueux des années 1940. Le livre The Control of Candy Jones (Playboy Press) relate ses douze années d’intrigue et de suspense en tant qu’espionne pour la CIA. Née Jessica Wilcox, elle correspondait apparemment au profil psychologique requis pour être l’un des premiers cobayes humains de l’ambitieux projet “scientifique” MKULTRA.

L’un des cas les plus médiatisés de monomanie MONARCH est détaillé dans le livre TRANCE Formation of America: The True Life Story of a CIA Slave par Cathy O’Brien. Sur la quatrième de couverture, il est déclaré sans équivoque que « Cathy O’Brien est la seule survivante vocale et rétablie du projet MONARCH de la CIA dans le cadre de l’opération de contrôle mental MKULTRA. » Cette autobiographie documentée relate des années d’inceste incessant et l’introduction de Cathy au programme MONARCH par son père dépravé. Avec son co-auteur et sauveur Mark Phillips, elle dévoile une panoplie presque incroyable de crimes conspirateurs : prostitution forcée (esclavage blanc) avec les élites politiques mondiales, missions secrètes en tant que “passeur de drogue”, et liens entre l’industrie de la musique country et les activités illégales de la CIA.

Paul Bonacci, un survivant courageux ayant subi près de deux décennies de dégradation sous le projet MONARCH, a révélé des preuves accablantes de crimes et de corruptions à grande échelle, des échelons municipaux jusqu’à la Maison-Blanche. [17] Il a témoigné des abus sexuels infligés à des garçons recrutés à Boys’ Town dans le Nebraska, transportés à la base aérienne Offutt, où ils auraient été soumis à un conditionnement intensif dirigé par le commandant Bill Plemmons et l’ancien lieutenant-colonel Michael Aquino. [18] Après avoir réduit ces garçons à des états d’oblivion mental, ils auraient été exploités, avec des filles, pour de la pornographie et de la prostitution auprès de puissants acteurs économiques et politiques.

Bonacci a également raconté avoir été transporté en avion de la base aérienne à la base McClelland en Californie. Avec d’autres adolescents malheureux, il aurait été emmené au refuge élitiste de Bohemian Grove, où des abus inimaginables auraient été commis pour satisfaire les désirs déviants de certaines élites. Certains enfants auraient été tués, aggravant les traumatismes des survivants déjà brisés.

Des figures controversées comme Lee Harvey Oswald, Sirhan Sirhan, Charles Manson, John Hinckley Jr., Mark Chapman, David Koresh, Tim McVeigh et John Salvi sont fortement soupçonnées d’avoir été manipulées par le projet MKULTRA.

Déprogrammeurs et Révélateurs

Le Dr Corydon Hammond, psychologue à l’Université de l’Utah, a tenu une conférence marquante intitulée Hypnosis in MPD: Ritual Abuse lors de la quatrième conférence annuelle sur l’abus et les personnalités multiples, le 25 juin 1992, à Alexandria, Virginie. Il a confirmé les soupçons de l’auditoire, évoquant la programmation mentale systématique, les connexions nazies, les recherches militaires et de la CIA, ainsi que le projet MONARCH. Peu après, il a reçu des menaces de mort et cessé de divulguer de nouvelles informations.

Mark Phillips, ancien sous-traitant en électronique pour le ministère de la Défense, a été exposé à des activités de contrôle mental top secrètes. Son empathie pour Cathy O’Brien l’a poussé à révéler les mécanismes de ce programme. Selon l’histoire, il l’a aidée à échapper à ses bourreaux et l’a déprogrammée en Alaska en un an. Bien que controversé, son témoignage reste une source importante sur le sujet.

La thérapeute Valerie Wolf a présenté, le 15 mars 1995, deux patientes devant le Comité présidentiel sur les expérimentations de radiations humaines. Ces femmes ont raconté des souvenirs de tortures, d’électrochocs, d’hypnose et de viols, tous associés à des expérimentations de la CIA.

D’autres figures notables dans la déprogrammation incluent Cynthia Byrtus, Pamela Monday, Steve Ogilvie, Bennett Braun et Colin Ross. Des journalistes comme Walter Bowart (Operation Mind Control), Jon Rappoport (U.S. Government Mind-Control Experiments on Children) et Alex Constantine (Psychic Dictatorship in the USA) ont également exposé ces sujets avec brio.

La phrase la plus incriminante à ce jour sur l’existence du projet MONARCH provient d’Anton Chaitkin du New Federalist. Interrogé sur MONARCH, l’ancien directeur de la CIA William Colby aurait répondu avec colère : « Nous avons arrêté cela entre la fin des années 1960 et le début des années 1970. » Malgré l’ampleur des preuves, la société, plongée dans un état de dissonance cognitive, choisit de nier cette sombre réalité.

La guérison de ces victimes de cruautés inimaginables est un processus long et ardu, mais les survivants peuvent trouver la liberté grâce à un soutien spirituel et psychologique adéquat. Le chemin vers la rédemption reste semé d’embûches, mais, comme le proclame Isaïe 61:1, la libération des captifs est possible.

Liens et ressources

1^ . David L. Carrico, The Egyptian Masonic Satanic Connection, 1992

2^ . Walter H. Bowart, Operation Mind Control, Flatland Editions, 1994, p. 216

3^ . Martin Cannon, Mind Control and the American Government, Prevailing Winds Research, 1994, p. 19

4^ . Linda Hunt, Secret Agenda, St. Martin’s Press, 1991

5^ . Final Report of the Select Committee to Study Governmental Operations, U.S. Senate, April 1976, p. 337

6^ . Ibid, p. 390

7^ . John Marks, The Search For The Manchurian Candidate, Times Books, 1979, pp 60-61

8^ . Final Report of the Select Committee to Study Governmental Operations, U.S. Senate, April 1976, p. 391

9^ . Mark Phillips and Cathy O’Brien, Project Monarch, 1993

10^ . Barbara G. Walker, The Woman’s Dictionary of Symbols and Sacred Objects, Harper Collins, 1988

11^ . Marshall Cavendish, Man, Myth and Magic, 1995

12^ . Dr. Corydon Hammond, The Greenbaum Speech, 1992; Mark Phillips and Cathy O’Brien, Project Monarch Programming Definitions, 1993

13^ . Gerald L. Posner, Mengele: The Complete Story, McGraw-Hill, 1986

14^ . Lucette Matalon Lagnado, Dr. Josef Mengele and the Untold Story of the Twins of Auschwitz, Morrow, 1991

15^ . Gordon Thomas, Journey into Madness: The True Story of Secret CIA Mind Control and Medical Abuse, Bantam Books, 1989

16^ . Cathy O’Brien and Mark Phillips, Trance Formation of America, 1995 – Wikispooks file: File:Tranceformation america.pdf

17^ . John DeCamp, The Franklin Cover-Up, Child Abuse, Satanism and Murder in Nebraska, AWT Inc, 1992

18^ . Anton Chaitkin, “Franklin Witnesses Implicate FBI and U.S. Elites in Torture and Murder of Children”, The New Federalist, 1993

19^ . Jon Rappoport, “CIA Experiments with Mind Control on Children”, Perceptions Mag’, September/October 1995, p. 56

20^ . David E. Rosenbaum, Esq., First Draft Overview of Investigation of the Group, 1983-1993

 

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